
La place des femmes dans la société, les querelles artistiques autour des Salons, les ravages de la guerre de 1870 et le siège de Paris par les Prussiens remettent en perspective le parcours de Berthe Morisot, les choix qui furent les siens.
Le sextant 3 souvre sur un consentement de grâce, par une tranquille promenade entre les masses sonores et les nappes daltitudes.Elle sait quand lheure approche, lutte avec dignité.Il y a un temps l'amour de services en ligne de la galerie de photos pour tout.Ou est-ce les pubs télé, les magazines, le cinéma qui ont trop vite fait domettre, de cacher la femme qui vieillit.Les empilements se forment par sympathie, par intelligence, par génie, par nécessité et par ce que nous prenons pour le hasard.Non seulement on apprend à mieux connaître l'héroïne de cette biographie, mais on s'immerge dans le Paris de la fin du XIXe siècle.A la déconstruction des traces dune histoire, sajoute les critères esthétiques des femmes célibataires à la recherche de couple cuba dictés par la société contemporaine.Est-ce les femmes qui dénaturent club rencontre plein air lordre des choses en voulant être éternellement désirables?Je suis toujours la même.Elle affirme un style qui lui est propre, tout en finesse, influencé par la pratique de l'aquarelle, flirtant souvent avec l'abstraction.Tags : Société, publicité, femmes, réagissez à l'article 1 réactions à cet article Les plus anciens d'abordLes plus récents d'abord.Pourtant une œuvre dart devrait être opérante, fonctionnelle, active.Dans notre société, la beauté est lattribut exclusif de la jeunesse, pour les autres, on parle volontiers de sagesse mais lesthétique a tranché.
Perte des repères, enfermement dans les repères, fatigue dêtre, sentiment dinutilité et de vide.

Puis est venue la préparation d'une épreuve professionnelle en Histoire de l'Art, qui a contribué à approfondir mes connaissances sur la peinture de la fin du XIXe siècle.
Il parait évident quelle prend chaque atome du corps et de tout ce quelle touche pour le faire danser à son rythme.
Le film a été remonté par Pierre Braunberger.